Squatteurs: Les propriétaires devront maintenant aussi leur livrer des croissants tous les matins

Publié le 28/04/2025
Squatteurs: Les propriétaires devront maintenant aussi leur livrer des croissants tous les matins

Dans un tournant remarquable de la législation sur le logement, le gouvernement a annoncé que les propriétaires d'immeubles occupés par des squatteurs seront désormais tenus de livrer des croissants frais tous les matins à ces occupants illégaux. Cette mesure, qui s'inscrit dans une volonté de « pacification des relations entre propriétaires et squatteurs », a suscité des réactions contrastées, mais semble s'appuyer sur des études à la fois sérieuses et hilarantes.

Les experts en droit immobilier, tels que le professeur Pierre Boulanger, affirment que cette initiative pourrait « transformer le squat en une expérience communautaire enrichissante ». Selon lui, « l'introduction de croissants dans l'équation pourrait favoriser un dialogue constructif, tout en réduisant le stress des propriétaires, souvent accablés par leurs responsabilités financières ». En effet, il est prouvé qu’une bonne pâte feuilletée peut apaiser les tensions, a-t-il ajouté avec un sérieux déconcertant.

Une logistique délicate mais nécessaire

Pour mettre en œuvre cette mesure, le gouvernement a créé un comité spécial de la livraison de viennoiseries, composé de représentants des propriétaires, de squatteurs et de boulangers. Ce comité aura pour mission de déterminer les horaires de livraison, le nombre de croissants par occupant, ainsi que les modalités de paiement, qui seront pris en charge par les propriétaires, bien entendu. Une étude récente a révélé que 78 % des citoyens approuvent cette mesure, arguant que « tant qu'il y a des croissants, il y a de l'espoir ».

Les propriétaires, pour leur part, sont partagés entre indignation et amusement. Caroline Imerzoukene, une propriétaire ayant récemment récupéré son bien après deux ans de squat, a déclaré :

« Je trouve ça hallucinant. J'aurais aimé qu'on me livre des croissants pendant que je payais 80 000 euros de factures. Ça aurait peut-être adouci ma situation. »
Une réflexion qui soulève la question de la valeur ajoutée d’une bonne boulangerie au cœur de la crise du logement.

Des implications économiques surprenantes

Cette décision a également des répercussions économiques inattendues. Le marché de la boulangerie est en pleine effervescence, avec une augmentation de 150 % des commandes de croissants dans les villes à forte densité de squats. Les boulangers se réjouissent de cette nouvelle clientèle, qui pourrait bien compenser les pertes d'autres secteurs touchés par la crise sanitaire. « Nous avons même envisagé de proposer des formules « squat » avec des croissants au beurre, des pains au chocolat et des baguettes », a indiqué un boulanger de Montmartre, visiblement ravi de cette opportunité.

Enfin, dans un élan d'optimisme, certaines municipalités commencent à envisager l’ajout de « cafés solidaires » dans les zones sensibles, où propriétaires et squatteurs pourraient se rencontrer autour d’un café et de croissants. L’objectif est clair : transformer les conflits en dialogues constructifs, tout en assurant un petit-déjeuner de qualité à tous. « Qui sait, peut-être que cela pourrait conduire à des mariages interclasses », a conclu le professeur Boulanger, un sourire aux lèvres.

En somme, cette nouvelle réglementation illustre à merveille la capacité de notre société à transformer l'absurde en une norme conviviale. Les croissants, symbole de la gastronomie française, sont désormais le ciment d’une réconciliation impossible, mais nécessaire. La France serait-elle en train de redéfinir le concept de propriété à la lumière de la pâtisserie ? L’avenir nous le dira.

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