Trump annonce le rachat de la moitié de l'océan Pacifique : "Les poissons paieront un loyer"

Publié le 25/04/2025
Trump annonce le rachat de la moitié de l'océan Pacifique : "Les poissons paieront un loyer"

Donald Trump a récemment annoncé le rachat de la moitié de l'océan Pacifique, une initiative jugée révolutionnaire par ses partisans et incompréhensible par ses détracteurs. Ce projet pharaonique, qui vise à établir un système de location pour les poissons, a été accueilli avec une ferveur inédite dans les couloirs du pouvoir. Le Président a déclaré avec conviction :

« Les poissons paieront un loyer, tout comme les entreprises paient pour leur espace de bureau. »
Selon des sources proches de l'administration, la décision de racheter une étendue maritime aussi vaste serait motivée par une volonté de contrôler les ressources halieutiques, tout en assurant un revenu passif pour le pays.

Une gestion maritime innovante

Le ministre de la mer, un poste récemment créé pour l'occasion, a précisé que l'initiative permettra de mettre en place un système de permis de pêche géré par un comité d'experts en aquaculture et en gestion immobilière sous-marine. « Nous avons déjà envisagé de faire payer un loyer à chaque espèce de poisson, en fonction de sa taille et de son attractivité commerciale », a-t-il expliqué. Les petits poissons, jugés moins rentables, pourraient bénéficier d'un tarif réduit, tandis que les espèces phares comme le thon ou le saumon seraient taxées à un taux supérieur, ce qui pourrait engendrer une nouvelle dynamique économique sous-marine.

Dans un effort pour soutenir cette initiative, le gouvernement a déjà commencé à préparer des contrats de location pour les poissons migrateurs, avec l'ambition de développer un marché immobilier aquatique florissant. Les premiers projets incluent des « quartiers » dédiés aux sardines et aux maquereaux, avec des infrastructures telles que des « centres de loisirs » sous-marins. Un porte-parole de l'administration a déclaré :

« Nous ne faisons que suivre la logique du marché. Si les poissons veulent vivre dans un environnement de qualité, ils devront s'acquitter de leur loyer. »

Les implications économiques et environnementales

Les experts économiques saluent déjà les perspectives d'emploi que ce projet pourrait générer. Selon des estimations, jusqu'à 200 000 emplois pourraient être créés dans le secteur de la gestion des loyers aquatiques. « Ce sont des emplois verts », a déclaré une économiste spécialisée en développement durable, « puisque nous allons également avoir besoin de spécialistes pour évaluer la valeur locative des coraux et des algues. » Un rapport prévoyant une augmentation du PIB de 500 milliards de dollars sur dix ans a été rendu public, et les investisseurs s'y intéressent déjà de près.

Cependant, des voix s'élèvent contre cette initiative. Des associations de protection de l'environnement tirent la sonnette d'alarme, évoquant le risque d'une « commercialisation excessive » des océans. Un représentant de l'ONG « Sauvez nos poissons » a déclaré :

« C'est une absurdité sans nom. Prochainement, nous devrons peut-être louer des espaces pour nager ! »
Les critiques n'ont cependant pas découragé le gouvernement, qui a même envisagé d'étendre le concept à d'autres mers et océans à travers le monde, sous le prétexte que la « gestion locative » pourrait devenir un modèle économique mondial.

Dans un élan de créativité, l'administration a également proposé de lancer une campagne de sensibilisation pour inciter les poissons à « investir » dans leur propre habitat. Cela inclut la possibilité pour les poissons de souscrire à des prêts pour améliorer leurs conditions de vie sous-marines, avec des taux d'intérêt compétitifs. Une source au sein du ministère a affirmé :

« Si les poissons veulent améliorer leur environnement, ils doivent être prêts à y mettre le prix. »
Ainsi, la mer pourrait rapidement devenir un lieu où le capitalisme se mêle à l'écologie, dans un ballet d’absurdité financière où chacun, même les poissons, doit jouer son rôle.

Articles suggérés