Darmanin veut confisquer les téléphones des drogués : Free Mobile se dit ravi d'économiser sur le service client

Publié le 26/04/2025
Darmanin veut confisquer les téléphones des drogués : Free Mobile se dit ravi d'économiser sur le service client

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, a récemment confirmé la mise en œuvre d’une mesure révolutionnaire destinée à lutter contre le trafic de drogues : la confiscation systématique des téléphones portables des consommateurs de stupéfiants. Cette décision, loin d’être anecdotique, s’inscrit dans une logique de répression sans précédent où l’on s’attaque non seulement aux substances illicites, mais aussi aux outils de communication des usagers. Dans une déclaration empreinte de sérieux, Darmanin a affirmé que « la saisie de téléphones portables est plus efficace qu’une simple poursuite judiciaire » pour dissuader les comportements répréhensibles.

« Les consommateurs de drogues n’ont pas besoin de téléphones. La société doit les protéger d’eux-mêmes », a-t-il déclaré avec conviction.

La mesure, qui s'appuie sur une expérimentation initiée par le procureur de Bayonne, sera étendue à l’ensemble du territoire national. Les usagers, jugés par un comité d’experts en addiction et en technologies de l’information, se verront confisquer leurs appareils, qui seront ensuite vendus aux enchères au profit de l’État. Les recettes de ces ventes permettront ainsi de financer des campagnes de prévention, faisant de cette initiative un cercle vertueux et autofinancé. « Pourquoi laisser un drogué avec un smartphone ? C’est comme donner une boîte à outils à un enfant de cinq ans », a affirmé Jérôme Bourrier, procureur de Bayonne, en ajoutant que « les téléphones sont souvent utilisés pour commander des produits illicites, c’est un outil de délinquance. »

Free Mobile : Une opportunité d'économies inattendue

Dans un élan d’enthousiasme, Free Mobile a annoncé qu’il se réjouissait de cette décision, arguant que la réduction du nombre de consommateurs de drogues pourrait considérablement alléger ses charges liées au service client. « Moins de clients, c’est moins de réclamations », a déclaré un porte-parole de l'opérateur, ajoutant que « nous pourrons même envisager de baisser nos tarifs pour les clients restants, ce qui est une situation gagnant-gagnant. » En effet, selon des statistiques internes, 73% des clients ayant un smartphone confisqué par les autorités avaient déjà contacté le service client au moins une fois dans l’année, une situation jugée insoutenable par les dirigeants de l’entreprise.

« C’est une aubaine. Nous avons toujours voulu réduire notre empreinte écologique, et moins de téléphones en circulation, c’est moins de déchets à gérer », a plaisanté un cadre de Free Mobile.

Une logique implacable au service de la société

La logique derrière cette mesure dépasse le simple cadre de la répression. Elle s’inscrit dans une démarche globale où l’État joue un rôle prépondérant dans la gestion des biens personnels des citoyens. Ainsi, il est préconisé de confisquer non seulement les téléphones, mais également d’autres objets pouvant être considérés comme « nuisibles », tels que les gobelets en plastique, les livres traitant de la culture cannabique ou encore les vêtements en denim, jugés trop associés à la contre-culture. « Nous avons les outils légaux pour agir et protéger notre jeunesse », a déclaré Darmanin, sans sourciller.

Cette initiative s’accompagne également d’une réflexion plus profonde sur le rôle des technologies dans le quotidien des Français. Un rapport d’experts, titré « Vers un monde sans smartphones : utopie ou nécessité ? », explore les bénéfices d’une société débarrassée des téléphones portables. « La confiscation des téléphones pourrait nous rapprocher d’une humanité plus authentique », conclut l'un des auteurs du rapport, un sociologue dont le nom arbore un parfum de mystère. Au final, cette mesure phare de Darmanin pourrait bien déboucher sur une société où l’on communique par signes et symboles, à l’image des sociétés pré-industrielles.

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