Trump impose des droits de douane de 37% sur la Lune

Publié le 03/04/2025
Trump impose des droits de douane de 37% sur la Lune

Le président Donald Trump a annoncé aujourd'hui l'imposition de droits de douane de 37% sur les importations lunaires, une décision qui, selon ses conseillers, devrait contribuer à « restaurer la fierté américaine » et « récupérer les investissements spatiaux perdus ». Cette mesure, bien que surprenante, s'inscrit dans une logique commerciale implacable visant à taxer tout ce qui n'est pas produit sur le sol américain, y compris les ressources provenant de notre satellite naturel.

Les experts en commerce interplanétaire, tels que le Dr. Apollo Crater, président de l'Institut d'Économie Lunaire, soutiennent que cette décision pourrait engendrer des retombées économiques significatives. « Si nous avons planté notre drapeau sur la Lune, nous avons un droit de regard sur ses ressources », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Selon ses estimations, les États-Unis pourraient tirer des bénéfices astronomiques (sans jeu de mots) de l'exploitation des minéraux lunaires, à condition que la taxe soit appliquée de manière rigoureuse et systématique.

Une bureaucratie spatiale à la hauteur des défis lunaires

Pour encadrer cette nouvelle réglementation, un comité spécial a été mis en place, le Comité pour l’Exploitation Commerciale des Ressources Lunaires (CECRL). Ce dernier devra établir des procédures douanières pour les importations lunaires, y compris la mise en place de postes de douane en orbite et des contrôles de sécurité pour tous les vaisseaux spatiaux entrants. Une source au sein du CECRL a confirmé que des agents de douane en combinaison spatiale seraient formés pour contrôler les cargaisons de roches lunaires et de poussière stellaire. « Chaque grain de poussière comptera », a-t-il ajouté avec une gravité déconcertante.

En réponse à cette initiative, des citoyens américains, tels que Bob T. Moonwalker, résident de Houston, expriment leur enthousiasme. « Enfin, nous allons faire payer ces extraterrestres qui se croyaient à l'abri de nos lois fiscales ! » a-t-il témoigné, le regard brillant d'excitation. Le gouvernement prévoit également de mettre en place un système de « déclaration de ressources lunaires », dans lequel les citoyens seront encouragés à signaler toute activité suspecte sur la Lune, incluant les collectes de poussière non déclarées.

Des implications inattendues pour les relations internationales

Cette décision pourrait également avoir des répercussions sur les relations diplomatiques avec d'autres puissances spatiales. La Russie, qui a récemment intensifié ses efforts d'exploration lunaire, pourrait voir cette taxe comme un affront. Un porte-parole du Kremlin a déclaré : « Nous sommes en train de préparer notre réponse, et nous ne laisserons pas les États-Unis monopoliser la Lune. » Des experts craignent même que cela ne déclenche une nouvelle « course à l’espace », cette fois pour conquérir des territoires lunaires à des fins commerciales.

Les conséquences de cette politique pourraient également s’étendre à la communauté scientifique. Les chercheurs de la NASA ont déjà exprimé des inquiétudes quant à la possibilité que les droits de douane n'entravent les missions lunaires à venir. Le Dr. Luna Bright, astrophysicienne, a commenté : « Si nous devons payer 37% pour chaque échantillon lunaire, cela va sérieusement compliquer notre budget de recherche. » Les scientifiques envisagent même de solliciter un financement auprès des entreprises privées pour contourner ces frais exorbitants.

En somme, cette décision de taxer les importations lunaires semble être une mesure audacieuse, mais elle soulève une multitude de questions tant sur le plan économique que sur celui de la coopération internationale. Alors que les États-Unis se préparent à arpenter la Lune avec des visées commerciales, il est à se demander si cette initiative ne finira pas par alourdir le poids de nos ambitions spatiales. Reste à savoir si les astronautes devront désormais déposer une déclaration de douane avant de poser le pied sur notre satellite.

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