Nouveau pape: Sandrine Rousseau exige le choix d'une femme pour respecter la parité

Publié le 05/05/2025
Nouveau pape: Sandrine Rousseau exige le choix d'une femme pour respecter la parité

Dans une demande sans précédent, Sandrine Rousseau, figure éminente du féminisme français, a exigé que le conclave papal, à venir, désigne une femme comme nouveau pape afin de garantir la parité dans une institution qui, selon elle, souffre d'un archaïsme flagrant. "Il est temps que l'Église catholique rejoigne le 21ème siècle et cesse d'être le dernier bastion du patriarcat", a-t-elle déclaré, ajoutant que "le choix d'une femme pour le trône de Saint-Pierre serait un pas décisif pour l'égalité des sexes". Cette affirmation résonne comme un appel aux armes pour une révolution religieuse sans précédent.

Un conclave aux enjeux historiques

Les cardinaux, réunis au Vatican, sont donc désormais confrontés à un dilemme : choisir entre la tradition séculaire de l'Église et la nécessité de s'aligner sur les exigences de la parité. Selon des sources internes, le Vatican envisagerait même de créer un comité ad hoc sur la parité, chargé d'évaluer la "papabilité" de candidates féminines. Ce comité, composé de membres de la Curie et de féministes notoires, devrait aboutir à une "charte de l'égalité papale" avant le début des votes.

Des experts en sociologie religieuse, tel le professeur Jean-Édouard Duclaux, estiment que "l'élection d'une femme pape pourrait être le catalyseur d'un changement historique". Il a même suggéré que l'ordination de femmes pourrait se faire par un simple vote des fidèles via une application mobile dédiée. "Imaginez, une application 'PopeVote' où les catholiques pourraient voter sur leur candidate préférée, avec une option bien-être qui permettrait d'envoyer des emojis de bénédictions", a-t-il expliqué avec un sérieux déconcertant.

Des candidatures féminines en lice

Parmi les noms qui circulent, ceux de Sœur Marie-Claire et de Mademoiselle Baptiste, une théologienne réputée pour son plaidoyer en faveur de l’égalité des sexes, se démarquent. "Accéder à la papauté serait un aboutissement naturel de ma carrière", a déclaré Mademoiselle Baptiste, vêtue d'une tenue écologiquement responsable. "Et cela prouverait que l'Église ne se contente pas d'être une relique du passé, mais qu'elle est prête à embrasser le futur".

Les observateurs, comme la sociologue Christine Lemaire, ajoutent que "la nomination d'une femme pourrait également renforcer la crédibilité de l'Église auprès des jeunes générations, et même, soyons fous, attirer une clientèle plus large dans les églises, notamment si le nouveau pape est actif sur les réseaux sociaux". Certains cardinaux, cependant, expriment des réserves, craignant que cela ne dévalue la sacralité du poste. "Une femme pape, c'est comme un vin rosé dans une messe", a ironisé un cardinal, tout en se gardant de nommer une quelconque alternative.

Un avenir radieux pour l'Église?

En attendant, les cardinaux se préparent à une élection qui pourrait être marquée par des débats passionnés et des retours de votes inattendus. Le cardinal Pietro Parolin, président du conclave, a admis que "le choix d'une femme serait un défi pour l'Église, mais un défi qui pourrait également porter des fruits inespérés". Les échos du Vatican font déjà état d'une fumée rose qui pourrait s'élever au-dessus de la chapelle Sixtine, symbolisant un tournant radical dans l'histoire de l'Église.

Les fidèles, quant à eux, s'interrogent : "Sommes-nous prêts pour un pape féminin?" La réponse, apparemment, pourrait bien se dessiner dans les jours à venir, alors que le monde attend avec impatience la fumée qui déterminera non seulement l'avenir de l'Église, mais aussi celui de la parité dans les institutions les plus anciennes du monde.

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